Vous savez que c’est naturel, mais cela vous agace et vous attriste. Vous savez que la vie n’est pas une publicité avec enfants parfaits, parents parfaits, chien parfait, maison parfaite. Mais vous vous dites qu’il doit bien exister un compromis. Et vous avez raison  ! Woody’s Family vous livre aujourd’hui cinq clés pour développer la complicité dans une fratrie, pour des relations entre frères et sœurs sans rivalité (ou presque).

freres-et-sœurs-sans-rivalite-complicite : frères et sœurs sans rivalité : complicité à table

1. Partager des moments de qualité en famille

Cela semble évident, mais c’est la base d’une vie de famille épanouie : c’est en partageant des moments de qualité les uns avec les autres que les liens se tissent et se renforcent. Pourtant, lorsque les disputes sont incessantes, on peut se montrer réticent à organiser des sorties familiales… Pas de panique  ! Rien ne vous oblige à emmener toute votre tribu dans un parc d’attractions ou au restaurant si vous n’êtes pas serein à cette idée. Avec un peu d’imagination (et de patience), vous pouvez organiser de jolis moments de partage dans le confort de votre foyer.

Faire des activités amusantes avec toute la famille

Comme tous les parents, vous rêvez de doux moments partagés en famille, avec de jolis sourires sur la bouille de chaque enfant. Pourtant, vous ne vivez pas dans une carte de Noël. Est-ce qu’il faut abandonner l’idée de faire des activités amusantes en famille pour autant  ? Non  ! Acceptez simplement que tout soit parfaitement… imparfait  ! Voici quelques idées d’activités fun et compatibles avec un petit budget à partager avec toute la famille (à adapter selon l’âge de vos enfants).

  • Préparer un repas gourmand tous ensemble (et se régaler) : garnir des pizzas, faire sauter des crêpes, préparer des cookies… Il paraît que « bien manger, c’est le début du bonheur. »

  • Consacrer un après-midi ou une soirée aux jeux de société. Si les relations entre vos enfants sont tendues, privilégiez les jeux de coopération, ou incitez-les à jouer en équipe  !

  • Dansez ensemble en laissant les enfants choisir la musique chacun leur tour. En plus, si vos enfants ont besoin de se défouler, cela leur fera le plus grand bien  ! Mieux vaut dépenser son énergie en faisant une super chorégraphie qu’en se battant avec ses frères et sœurs…

Pour maximiser les chances que ce moment en famille se déroule sans encombre (ou presque), veillez à choisir une activité qui plaira à chaque enfant. Cela vous évitera les « c’est trop nul », « on fait toujours ce que lui il aime », « j’ai pas envie » et autres réticences.

Permettre à chaque enfant de passer des moments privilégiés en tête-à-tête avec papa ou maman

Chaque enfant a besoin de passer des moments privilégiés avec chacun de ses parents. Cela renforce le lien parent-enfant, la sécurité affective et la confiance en soi. Encore une fois, vous pouvez adapter ces moments de tête-à-tête selon votre disponibilité. Vous n’avez pas forcément besoin d’emmener chaque enfant en sortie à intervalle régulier… Voici quelques idées à adopter (et à adapter) au quotidien pour partager des instants privilégiés avec chacun de vos héritiers.

  • Lire une histoire ensemble.

  • S’asseoir ensemble pour raconter sa journée.

  • Cuisiner ensemble.

  • Donner le bain (pour un petit).

  • Faire une partie de jeu ensemble.

  • Prendre un goûter ensemble.

Les possibilités sont illimitées  ! Le plus important est de choisir une activité qui plaise vraiment à l’enfant concerné, et d’être pleinement connecté et disponible pour lui à ce moment-là, même si cela ne dure que 10 minutes. Si un petit pot de colle demande votre attention en même temps, expliquez-lui calmement que son frère ou sa sœur a aussi besoin de vous, et que vous ferez une activité ensemble un peu plus tard. Cet équilibre peut être difficile à trouver, mais ces moments privilégiés remplissent le réservoir affectif des enfants et les aident à construire des relations entre frères et sœurs sans rivalité.

Encourager les moments privilégiés entre frères et sœurs

Si votre famille compte trois enfants ou plus, proposer à chacun d’eux de passer des moments privilégiés avec un frère ou une sœur à la fois peut être un bon moyen de renforcer leur relation. Toutefois, rien ne sert de les forcer s’ils n’y tiennent vraiment pas. Lorsque les relations sont trop tendues, il vaut mieux privilégier les interactions avec la famille au complet.

Vous pouvez aussi encourager la fratrie au complet à jouer ou à faire des activités amusantes ensemble. Si vous sentez qu’ils ne tiennent pas en place, suggérez une activité sportive, de la danse ou une bataille de chatouilles. 

  • Et si vous embarquiez votre tribu dans une aventure géocaching, une chasse au trésor en plein air qui nécessite un GPS (smartphone ou GPS de randonnée), pour trouver un trésor caché par d’autres aventuriers. 

  • La météo n’est pas idéale ? Une partie d’undercover devrait mettre toute la famille d’accord !

Vos enfants sont uniques et différents : vous pouvez les aider à trouver une activité qui plaira à chacun d’entre eux. Ce point commun pourrait les rapprocher  ! Privilégiez les jeux et activités en coopération pour limiter les disputes : les enfants doivent faire équipe pour mener à bien leur mission.

freres-et-sœurs-sans-rivalite-activite-en-famille-patisserie : frères et sœurs sans rivalité : parents et enfants font de la pâtisserie ensemble

2. Permettre à chacun d’avoir du temps pour soi

Même dans les familles les plus unies, chacun a besoin d’avoir du temps pour soi au quotidien. En tant que parent, vous pouvez veiller à ce que l’enfant qui a besoin d’un temps calme dans la solitude ne soit pas dérangé par ses frères et sœurs. Vous pouvez expliquer à votre petit  : « Ta sœur pourra jouer avec toi un peu plus tard. Pour l’instant, elle a besoin de temps calme. Toi aussi, parfois, tu as envie de t’amuser tout seul. »

Même si vos enfants partagent la même chambre, il existe différentes solutions pour leur permettre d’avoir des loisirs chacun de leur côté.

  • Les activités périscolaires permettent aux enfants de passer du temps de qualité avec des camarades qui ne sont pas leurs frères et sœurs.

  • En grandissant, les enfants peuvent passer du temps chez des camarades de classe, de jeux ou d’activités, pour renforcer leurs liens amicaux.

  • À la maison, vous pouvez permettre à chaque enfant de bénéficier de temps seul dans sa chambre à tour de rôle. Pendant ce temps, ses frères et sœurs s’amuseront dans le salon.

  • Si cela est compatible avec les envies de chacun, deux enfants (ou plus) peuvent s’adonner à une activité calme chacun de leur côté dans la même pièce. L’un peut jouer avec ses briques de construction pendant que l’autre lit un livre, par exemple.

Avec un peu de chance, vous arriverez à synchroniser le temps calme de chaque enfant, et vous pourrez en profiter pour vous détendre également ! Si les plus petits ont besoin de faire une sieste à horaire régulier, profitez-en pour proposer aux aînés de prendre leur temps pour soi à ce moment-là. Chacun fait l’activité de son choix, seul, et calmement.

freres-et-sœurs-sans-rivalite-temps-pour-soi : frères et sœurs sans rivalité : une petite fille lit un livre tranquillement

3. Développer la coopération pour des relations entre frères et sœurs sans rivalité

La complicité et la coopération vont souvent de pair  ! Vous vous dites peut-être que vos enfants ne pourront pas coopérer, puisqu’ils ne s’entendent pas… Mais se pourrait-il que ce soit l’inverse  ? Et si coopérer pouvait aider vos enfants à développer leur complicité  ?

Jouer ensemble

Le jeu est un excellent moyen de développer la coopération entre frères et sœurs, si on évite de tomber dans certains pièges  !

Si vos enfants ont des centres d’intérêt très différents, trouver un terrain d’entente pourra être difficile. Mais vous finirez bien par trouver une activité qui les mettra d’accord  ! Jeux de société, sport, pâtisserie, musique, concours de blagues, activités manuelles… Les possibilités sont multiples, alors ne baissez pas les bras  !

Au contraire, si vos enfants partagent les mêmes passions, ils pourraient bien avoir envie de s’approprier les mêmes jouets… Dans cette situation, le compromis sera votre meilleur allié. « Je vois que vous voulez tous les deux vous amuser avec cette figurine de cheval. Mais, oh, regardez, nous avons un âne et un zèbre aussi  ! Voici ce que je vous propose : vous faites un pierre-feuille-ciseaux pour décider qui jouera avec le cheval en premier. Je mets le minuteur sur 5 minutes : lorsqu’il sonne, vous échangez. » Avec un peu de pratique, vous pourrez demander à vos petits de proposer eux-mêmes un compromis.

Apprendre à vos enfants à faire des compromis est essentiel pour qu’ils puissent jouer entre frères et sœurs sans rivalité  !

Accomplir des missions ensemble

Les jeux aident à grandir et à se rapprocher, mais les missions à accomplir aussi  ! En aidant à accomplir les tâches collectives, chaque enfant apprend à trouver sa place dans la famille, développe son sens des responsabilités et son estime de soi. La famille est une équipe gagnante : chacun fait sa part pour le bien-être de tous. Vous pouvez proposer à chaque enfant d’accomplir une tâche précise, ou les encourager à les réaliser ensemble.

Encourager les moments de complicité

Heureusement, vos enfants partageront parfois (rarement ou souvent) des moments de complicités spontanés. Profitez-en pour les encourager et leur dire à quel point cela vous rend heureux de les voir si bien s’entendre. En se disputant, les enfants recherchent la plupart du temps l’attention de leurs parents, alors montrez-leur qu’ils peuvent l’obtenir en coopérant  !

freres-et-sœurs-sans-rivalite-cooperation : frères et sœurs sans rivalité : deux sœurs font un jeu de construction ensemble

4. Désamorcer les disputes

On le répète: la jalousie et les disputes qu’elle engendre dans la fratrie sont saines et naturelles. Ne culpabilisez pas si vos enfants se chamaillent à longueur de journée, alors que ceux des voisins semblent si bien s’entendre… Même si on aime chacun de nos enfants plus que tout, on ne peut pas les forcer à s’aimer. Intervenir pour gérer une relation qui n’est pas la nôtre est souvent improductif. Les relations entre frères et sœurs sans rivalité n’existent pas, elles oscillent entre compétition et complicité : il faut l’accepter  !

Mais alors, que faire lorsque les disputes dégénèrent (ou pour éviter que les tensions n’explosent)  ? Avant toute chose, il est important de comprendre d’où vient la jalousie de nos enfants, même si elle nous semble parfois irrationnelle. Nous partageons ci-dessous quelques astuces pour vous aider à assurer la sécurité physique et affective de chaque enfant, tout en leur apprenant à gérer eux-mêmes leurs conflits.

Comprendre d’où vient la jalousie dans la fratrie

La jalousie se définit comme la crainte de perdre une personne importante au profit d’un rival. Pour les enfants, c’est une peur bien réelle, qui peut être extrêmement forte. Même si en tant que parents nous aimons infiniment chacun de nos enfants, il est important de ne pas minimiser cette crainte. Notre rôle de parent est central dans la vie de nos petits, même lorsqu’ils grandissent. Ils ont besoin de pouvoir se reposer sur nous et de sentir notre amour inconditionnel.

Pour un enfant, rien n’est plus difficile que de partager l’amour de ses parents. L’aîné regrette la période à laquelle il était enfant unique, et les cadets regrettent d’avoir dû partager leurs parents dès leur naissance. Cette jalousie entre frères et sœurs est liée à la peur de l’abandon : ne cherchez pas d’explication « rationnelle ». Les enfants ont besoin d’être constamment rassurés sur l’amour qu’on leur porte, et particulièrement lorsqu’ils se disputent avec leurs frères et sœurs. Vous comprenez donc pourquoi rêver de relations entre frères et sœurs sans rivalité n’est pas réaliste…

De nombreux facteurs peuvent exacerber les tensions : environnement, différences de caractère, écart d’âge… Ce n’est pas une « science exacte », vous ne pouvez pas contrôler tous ces paramètres. Souvent, les pédopsychiatres remarquent qu’un écart d’âge de moins de 3-4 ans favorise les comparaisons, et donc la jalousie. Évidemment, cela ne signifie pas que vous devez « calculer » méthodiquement l’écart entre chaque enfant !  ! Il s’agit simplement d’une piste pour vous aider à comprendre le comportement de vos enfants.

Être le garant de la sécurité de ses enfants tout en leur apprenant à gérer les conflits

La fratrie est la première microsociété à laquelle se frottent les enfants. Les relations fraternelles, dans la complicité comme dans l’adversité, aident chaque enfant à développer sa capacité à s’affirmer et à trouver sa place. Avec un peu de supervision parentale, cela peut aussi les aider à apprendre à résoudre des conflits.

Se positionner face aux disputes en tant que parent : arbitre ou coach  ?

En tant que parent, il est souvent difficile de se positionner lorsque les enfants se disputent. Faut-il les laisser se débrouiller et prendre le risque de voir les choses dégénérer, ou prendre la défense de la « victime »  ?

Si jouer l’arbitre en faveur du plus petit ou de la « victime » peut être tentant, ce n’est en fait pas vraiment une bonne idée. Prendre parti pour l’un renforcerait la colère de l’autre à son égard, et créerait encore plus de disputes. En plus, ils auront tendance à vous demander de trancher chaque conflit, sans apprendre à le résoudre par eux-mêmes. Dès que votre bambin sait parler, vous pouvez lui apprendre à employer les bons mots pour se défendre.

Apprendre à gérer les conflits est un élément très important pour aider vos enfants à tisser des relations entre frères et sœurs sans rivalité. Le mieux à faire (dans la mesure du possible) est donc de jouer le rôle du coach plutôt que de l’arbitre. Voici quelques pistes à explorer pour accompagner vos enfants et les rendre experts en réconciliation  !

Tester différentes pistes pour aider ses enfants à se réconcilier

  • Rappelez fermement les règles essentielles : on ne peut ni frapper, ni insulter, sous aucun prétexte  !

  • Si le contexte s’y prête, dédramatisez la situation avec humour. En exagérant la situation de façon comique, vous aidez vos enfants à constater que leurs réactions sont disproportionnées. Utilisé au bon moment, l’humour aide à désamorcer les tensions efficacement.

  • Aidez vos enfants à mieux se comprendre en reformulant les sentiments de chacun. En grandissant et avec un peu d’entraînement, ils pourront le faire seuls.

  • Vos enfants sont tous deux (ou trois…) indignés de l’injustice qu’ils subissent  ? Chacun désigne l’autre comme coupable  ? Prenez le temps d’écouter et de réconforter chacun d’entre eux. Expliquez-leur que chacun pourra s’exprimer sans crier et être écouté à tour de rôle. Vous pouvez proposer au plus jeune de commencer.

  • Présenter ses excuses est difficile. Aidez-les à présenter leurs excuses et à réparer les dégâts émotionnels ou matériels.

  • Avez-vous déjà essayé ces deux petites phrases magiques  ? « Je suis sûr que vous allez arriver à trouver une solution qui vous convienne à tous les deux. Je vous fais confiance. » Éclipsez-vous ensuite rapidement, et écoutez discrètement ce qu’il se passe…

  • L’un de vos enfants se met dans une colère noire contre son frère ou sa sœur sans « bonne » raison apparente  ? Cherchez s’il existe une autre cause d’irritabilité (faim, soif, douleur, contrariété préalable dans la journée, etc.), qui serait la « face cachée de l’iceberg »… La colère et les frustrations cachent un besoin qui n’est pas respecté.

freres-et-sœurs-sans-rivalite-reconciliation : frères et sœurs sans rivalité : deux bambins se font un câlin

5. Mettre en valeur les différences de chacun

Chaque enfant est unique  ! Le caractère, les goûts et centres d’intérêts de chacun ne sont pas forcément « compatibles » avec la personnalité des autres… Ces différences qui rendent chaque individu exceptionnel à sa manière peuvent être difficiles à gérer au quotidien, alors ne culpabilisez pas  !

Oui, il existe des familles dans lesquelles les enfants sont très complices et s’entendent à merveille, mais cela ne dépend pas uniquement de leur éducation  ! La compatibilité de leurs caractères favorise grandement l’harmonie des relations de la fratrie. En d’autres termes, c’est en partie une question de chance  ! Et, croyez-le, même dans ces familles qui vous semblent parfaites, les disputes existent. Alors, modifions nos attentes et acceptons que des relations entre frères et sœurs sans rivalité n’existent pas…

Est-ce que vos enfants qui passent leur temps à se disputer sont plus difficiles à gérer au quotidien  ? Oui. Est-ce que cela en fait des êtres désobéissants et non civilisés  ? Non. Est-ce que cela rend votre famille moins belle  ? Non plus  !

Si votre aîné aime lire et dessiner tranquillement, alors que le petit dernier adore jouer au foot et chanter à tue-tête, il est tout à fait logique que vos enfants ne passent pas beaucoup de temps ensemble. Est-ce que c’est mal  ? Non. Le plus important est que chacun s’épanouisse individuellement.Vous ne pouvez pas les forcer à avoir une relation fusionnelle, ni à s’aimer. Mais heureusement, la majorité des frères et sœurs développent un amour unique, même en étant très différents. En attendant, expliquez-leur que leur seule obligation fraternelle est de se respecter. C’est aussi l’une des bases de la vie en société  !

freres-et-sœurs-sans-rivalite-points-communs : frères et sœurs sans rivalité : deux enfants jouent à la dînette ensemble

Bonus : Encourager ses enfants à coopérer avec un organiseur familial fun et ludique

Vous rêvez de simplifier la gestion des missions collectives (tâches ménagères) et individuelles tout en encourageant vos enfants à coopérer ? Élisa, maman de deux enfants, a mis au point un organiseur familial sous forme de plateau de jeu, qui a déjà aidé plus de mille familles à gagner en sérénité en réorganisant leur gestion de la vie quotidienne.

Réorganiser la vie quotidienne en s’amusant

Le principe ? On inscrit le nom de chaque enfant (et parent) sur les cases du plateau, et on glisse les magnets illustrant les missions à accomplir dans la zone de bulle de pensée de chacun. Lorsqu’une mission est accomplie, on glisse l’illustration dans la pyramide des objectifs.

Lorsque toutes les missions sont accomplies, chaque membre de la famille collecte des Woodys (bons points), à échanger contre une récompense prédéfinie (une soirée pyjama, un magazine, une partie de foot, etc.).

Les missions sont à adapter selon l’âge et les compétences de chaque enfant. Alternez entre des tâches qui profitent à tous (nettoyer la table, ranger le linge, passer le balai, etc.) et des objectifs individuels (ranger ses jouets, préparer son cartable, bien se brosser les dents, etc.). Vous pouvez aussi fixer des missions d’empathie, comme « écouter attentivement », « dire des mots gentils », « encourager les autres », etc. L’idéal est que chacun ait son « métier » pour la semaine ou le mois : cela évite beaucoup de chamailleries et de répétitions.

Développer la coopération entre frères et sœurs sans rivalité avec des missions collectives

Ainsi, chaque enfant apprend à apporter sa contribution pour le bon fonctionnement de la vie de famille. Pour renforcer l’esprit d’équipe, vous pouvez aussi proposer à vos enfants de collecter des Woodys en mode collaboratif : tous les Woodys vont dans un pot commun pour obtenir une récompense commune (une sortie en famille ou une soirée films tous ensemble, par exemple). Un organiseur familial bien utilisé peut alors réellement aider vos enfants à construire des relations solides entre frères et sœurs sans rivalité.

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